La situation en Guinée a été examinée par les chefs d’État de la Cédéao réunis en sommet extraordinaire après le coup d’État qui a renversé Alpha Condé à Conakry et des sanctions a minima ont été annoncées. Certes, la Cédéao réaffirme son opposition à tout changement politique par des moyens non constitutionnels, et condamne ce coup de force. La Guinée est suspendue, mais évite les mesures économiques, comme l’arrêt des échanges commerciaux ou la fermeture des frontières. L’organisation n’a pas non plus décidé de sanctions individuelles – gels des avoirs ou interdiction de voyager – contre les putschistes.
Source: RFI Afrique
