Pénalités de retard, saisies-arrêts… Le régulateur algérien tente de mettre le holà aux pratiques de recouvrement coercitives appliquées par les établissements financiers aux entreprises en difficulté.
La Banque centrale aurait déploré qu’en appliquant ces mesures, les banques aggravent la situation des entreprises concernées, essentiellement des PME, et exposent leurs portefeuilles à détenir davantage de créances irrécouvrables. Des sanctions sont prévues.
Source : Jeune Afrique